par  | Nom : Lordgam Prénom : Siam Age : 21 ans (Jour du seigneur, 981 (le 26 ème jour du Cerbère) Age de l’ascension : 20 ans Statut Général de Guerre Asmodien, Général de l'Ordre des Templiers de Nezakan Race : Asmodienne Caractère : Posée, Maternelle, Passionnée, Mystique et Robuste Profession : Templière Physique : Athlétique et Élancée, Cheveux Noir, Yeux Rouge Résumé de sa vie : Femme dévoué à son clan et alliée avec les Élyséens, combat les Balaurs dans le but de faire d'Atréia un monde de Paix et de Diversités Culturelles. |
Je suis Siam Lordgam. Mon histoire débutait le Jour du seigneur, 981 (le 26 ème jour du Cerbère) accompagnée par celle qui sera ma plus grande alliée : Rhia Lordgam ma sœur jumelle. Etre nées se jour la devait être un signe pour nous. On dit que ceux nés sous l'œil du Cerbère sont forts, fidèles et font preuve d'un profond sens mystique ; Ils ont également le sens de l'humour et de la gourmandise. Ça doit être de la que viens notre envie de dévorer la vie et surtout notre manière passionnée d'aborder une idée et de la défendre corps et âme. Il y’en a tout particulièrement une qui nous est cher : celle de rallier les deux factions qui se combattent depuis tant d’années et de vivre en harmonie dans Atréia. Je pense que cela doit venir de nos parents. Notre père, Edwin Lordgam, est un Daeva Asmodien qui combat depuis toujours les Balaurs, et de notre mère Asmeria Doliam élyséenne prêtresse de Nezakan qui est devenue Daeva lorsque qu’elle a été promue Grande Prêtresse et Général de la Légion L’épée de la Justice établie Inggisson. Leur rencontre date du jour où les Balaurs avaient lancés un assaut pendant que les Elyséens et Asmodiens se battaient pour les Terres qui font la jonction entre Gelkmaros et Inggisson. Les Elyséens brillaient par leur courage, face aux Asmodiens munis d'une détermination sans faille, alors que surgissent de l'ombre des troupes Balaurs. C’est alors qu’apparut « L’épée de la Justice ». Tentant de repousser ces créatures afin de protéger leurs frères d'arme se repliant, Edwin et Asmeria combattaient sans relâche jusqu'à épuisement. Lorsque leurs compagnons furent enfin en sécurité, Edwin emmena donc notre mère qui était à bout de souffle, à travers un portail menant vers des terres inconnues où naissent des légendes d'un dragon contrôlant l’aéromancie.
Loin de la menace Balaurs, dans un autre monde, l'asmodien pris soins de cette femme à la peau dorée et aux cheveux d’argents satinés, et tombât sous le charme de ses yeux gris acier.
Le temps passa dans ce temple et l'amour devient plus grand, mais il fallait revenir à la réalité et trouvé une issue. Sauf qu'il n'y avait qu'une seule issue: Dragon du nom de Ailes-Ouragan.
Celui-ci leur proposa un marché : leur sortie contre la protection de son monde dont le Temple de Beshmundir qui en était le seul accès. Nos parents le savaient, Beshmundir renfermé de grand trésor et surtout des mois de divins souvenirs.
C'est suite à cela que l'Ordre des Templiers de Nezakan fût fondé. Puisant dans la force de Nezakan, ces nouveaux combattants œuvré au nom de la Justice, et proposa aux deux factions de s'unir et combattre ceux qui fragiliseraient l'équilibre d'Atréia.
C’est donc de la que vient notre amour pour Atréia toute entière, nous sommes les filles improbables d’un Asmodien et d’une Elyséenne, certains crachent que nous sommes des batardes mais nous ne sommes qu’un Symbole de la Paix entre les races.
L’enfance :
Cependant cette vision de la vie nous a amenées à être traitées en parias de la société nous étions pointées du doigt. Je me rappelle encore nos visites à Pandémonium. Mon père partait vendre leurs butins de combats alors que Rhia et moi restions avec maman. Ma mère aimait nous vêtir comme des princesses et nous amenait donc dans les boutiques de friperies et de vêtements. Avec Rhia on adorées essayer des petites armures de combats et faire comme papa avec nos glaives rouleaux de tissus et des morceaux de plastrons en guise de boucliers.
« On se calme mes petites guerrières, nous disait –elle, il n'y a pas de doute vous allez devenir de grandes guerrières, mais seulement de taille »
Son visage rayonnait d’amour et de bonheurs. Maman…
Mais cette image n’est qu’une façade…
Lors qu’on circulait dans la ville les gens nous regardaient avec un tel mépris ! Les enfants qui voulaient jouer avec nous étaient aussitôt récupérés par les parents. Tant de haine pour de simples petites filles.
Mais je me rappelais surtout du jour où notre mère avait été bannie, un jour qui poussa mon père à se retourné contre cette politique de génocide.
Comme a notre habitude nous nous dirigions vers le district de Vanahal, la où s’établissent les plus grandes boutiques. Mais cette fois si, trois personnes sont arrivés et se sont postés devant notre mère.
- Tu n’as rien à faire ici! L’agressa le plus grand d’entre eux. Une aile blanche n’a rien à faire ici ! Et je pense que les généraux nous accepterons dans leur rangs si on leurs apportes ton cadavre fétide. Et comme trophée je pense même me faire une bonne armure de cuir avec ta peau si dorée.
- Et pour les bâtardes je pense les revendre a bon prix aux Kralls, repris la menue jeune femme à ses coté.
- Nous ne sommes pas des bâtardes ! Hurla Rhia en foncent sur eux !
J’ai eu si peur pour elle, du haut de nos six ans nous n’étions que de frêles petites filles, c’était de la folie. Elle n’avait aucune chance à cette époque…
- Rhia ! Lâchez-la, je vous en supplie ! Pas ma petite… Sa voix trembla de peur et de souffrance… Pas ma .. Petite..
Ces monstres l’avaient attrapés et jetés dans le court d’eau alors qu’elle ne savait pas nager. Je me mis à courir la chercher, elle qui s’accrochée au peu de prise qu’elle avait mais garder en elle se regard si caractéristique des Asmodiens. C’est alors que notre mère sortie une arme et se jetât sur eux d’un bond et se mis a donnée des coups telle une danseuse sous des éclaboussures de sang. Elle combattait avec une tel grâce, elle qui depuis la bataille des Balaurs n’avait plus engagée de combats.
Quand a moi j’essayais tant bien que mal de grimpée sur le mur pour rejoindre ma sœur. Elle se battait contre le courant et commençait à faiblir. Malgré mes effort, je n’y arrivée pas j’étais trop petite. Et je vis maman courir et passé par-dessus la barrière posée sur le mur, quand tout a coup une aura bleutée m’entoura et pris la forme d’un reptile. Je ne voyais pas réellement se que c’était, tous se qui m’importée était ma sœur ! Et pour me donner un élan de courage je me mis à hurler « Rhia ! » quand tout à coup cette lueur se précipita vers elle et bloqua les eaux l'emportent dans le courant. Je n’en croyais pas mes yeux et maman resta elle aussi bouche bais. Rhia était épuisée et d’un dernier effort elle puisa au plus profond d’elle-même afin de sortir de l’eau. Une fois a terre je fus soulagée et l’aura disparu comme elle était apparût.
Nous restâmes figées je ne sais combiens de temps au bord de la rive. Mais les ennuis n’allez pas tarder à se manifester. Maman nous ramena sur la route et proche des blessés elle leva la tête tout en ne les quittant pas des yeux et se mis à crachée des paroles : « Personne ne touche mes filles, sinon la main de Nezakan rendra justice ! »
Les badauds nous avez entourés entre temps et notre père arriva tel une rafale de vent a l’approche d’un Ouragan.
- Que c’est t’il passé !! fit mon père pris de panique.
Mais notre mère resta figée et me regarda longuement.
- Asmeria ? Ma douce, qu’il y a-t-il ?
- Tuer la !!! Tuer la cette criminelle !! Nous avons laissez entrer le mal dans notre havre de paix !! Ils vont venir en plus grand nombre nous attaquer !!! Répétaient sans cesse la foule.
Et se fus Vidar qui arrêta la foule.
- Asmeria je pense qu’il vaudrait mieux pour vous quatre de ne plus circuler aussi librement dans cette capital pour l’instant. Ce genre d’incident ce reproduira si vous continuez à prendre ce risque. Vous êtes la bienvenue a mes cotés ma chère mais la population n’est pas encore prête à tolérer une tel harmonie entre nos peuples, et vos filles deviennent des cibles malgré leurs fortes ressemblances avec les Asmodiens. Cependant je pense qu’elles sont une des clés pour mettre un terme à ses massacres. Je vous invites donc à vous établir au abord de Beshmundir le temps qu'elles grandissent et qu'elles apprennent à métriser leurs dons. Si vous voyez de quoi je fais allusion.
Notre mère acquiesça et le regarda dans les yeux cette fois si. Il reprit :
- Vous voyez ces demeures là bas ? Elles sont à elles et seront sous ma protection. Vos filles n’auront qu’à prétendre à l’ascension pour revenir ici. Il termina par un large sourire et ses yeux brillants plein d'émotions.
Vidar était donc là, depuis le début et nous a toujours préservait de la méprise de son peuple …
C’est donc se que nous avons fait, nous sommes partis pour Beshmundir. La route avait été éprouvante, les Balaurs s’y étaient établis et les Terres étaient hostiles. Mais j’étais heureuse là bas, j’aimais partir à l’aventure et découvrir les trésors qu’offrait ses lieux. Dans mes aventures j’ai vécu de nombreuses péripéties, fait de superbe découverte et même un ami ! Je l’avais appelée Joy, un griffon d’eau qui m’avait adopté. Nous étions inséparables se qui rendait folle de jalousie Rhia, mais, chute elle n’a jamais voulu l’admettre. Et les années se sont écoulées, mon père qui partait à Gelkmaros entrainait des troupes, et ma mère continuait à prier Nezakan, tandis que Rhia passait son temps à aller chasser ou suivre papa. Elle a toujours dit que c’était pour apprendre à se battre mais je suis sure que c’était pour voir se jeune homme qui la fessait rougir lorsque notre père fessait des éloges de ses talents. Malgré nos différence avec les autres familles nous avions les même tracas quotidiens. A quelques détails près…
